Le rabbin américain, Marc Schneier, très introduit dans "certains milieux arabes très influents", fait savoir que Benjamin Netanyahu a le soutien des États-Unis pour la tenue de ce sommet "qui ne devrait pas avoir lieu avant les législatives israéliennes du 2 mars", rapporte Jerusalem Post.
Selon le président de la Foundation for Ethnic Understanding (FFEU), les dirigeants arabes "consultés", ont tous épousé l’idée, mais "préféreraient que cela ne se fasse pas avant le scrutin du 2 mars". Un scrutin qui revêt de grands enjeux pour l’avenir d’Israël.
Sont invités à ces assises, l’Égypte, l’Arabie saoudite, Bahreïn, Oman ou encore le Soudan, qui œuvrent pour la normalisation de ses relations avec l’État hébreu. À en croire le rabbin américain, le roi Abdallah II de Jordanie, qui est aussi invité à participer au sommet, aurait posé une condition : recevoir une invitation du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.