
Dans une interview, le latéral droit marocain Achraf Hakimi revient, pour la première fois, sur les accusations de viol pour lesquelles il avait été mis en examen en mars 2023.
L’auteur du viol et du meurtre, l’année dernière, d’une fillette de 11 ans dans la région de Marrakech, a été condamné la semaine dernière à la peine capitale.
Le crime a eu lieu à Ait Imour, un village de la région de Marrakech. La fillette de 11 ans qui revenait de l’école a été agressée par un de ses voisins qui l’a violée, pendant des heures, dans une ferme de la région, avant de l’assassiner.
L’auteur de cet odieux crime venait de sortir de prison après avoir purgé une peine de quinze ans de prison, pour tentative de viol sur une enseignante. D’ailleurs, dès la découverte du crime, qui remonte à mars 2018, tous les soupçons ont pesé sur lui. La chambre pénale de la Cour d’appel de Marrakech vient de le condamner, jeudi 7 février, à la peine de mort.
Notons que la dernière exécution au Maroc a eu lieu en 1994 et qu’une condamnation à mort n’est, tout du moins officieusement, que purement symbolique. Il existe en effet un mouvement contre la peine de mort, soutenu principalement par certains partis et des organisations de défense des droits de l’homme. Par contre, les partis islamistes et conservateurs refusent que la peine de mort soit retirée du droit pénal marocain.
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