Maroc : hausse des crédits immobiliers de 3,5 % à fin janvier
Selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) relevant du ministère de l’Économie, des finances et de la réforme de l’administration, les crédits à...
Les transactions sur le marché de l’immobilier marocain sont à l’arrêt, mettant les promoteurs et les notaires en chômage technique.
450.000 actes en moyenne par an ; c’est le chiffre des études réalisées par les auxiliaires de justice, comptant 2 000 praticiens et 15 000 employés directs et indirects.
Ceux-ci sont en grande peine depuis l’arrêt des transactions immobilières à cause de la crise sanitaire et l’instauration du confinement, écrit L’Économiste. Ces professionnels n’ont pas été intégrés dans le décret relatif à l’état d’urgence sanitaire, fixant la liste des activités essentielles. Résultat, les cabinets de notaires sont au chômage sans oublier les études, et le nombre des actes en baisse totale. Les recettes de l’État sont impactées par cette inactivité.
Aussi, des promoteurs immobiliers n’écoulent-ils pas leurs stocks, d’où une multiplication de promotions. Mais la fin du confinement présage de meilleures perspectives, car l’offre immobilière sera abondante avec une baisse de 15 à 20 % des prix par les propriétaires qui désirent vendre leurs biens. Reste à savoir si la demande suivra.
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