Les individus arrêtés dans les villes de Nador, Laâyoune, Tétouan, Meknès, Sidi Ifni, Beni Mellal, Saidia, Dakhla et Tanger, faisaient "la propagande, via des sites électroniques, d’idées extrémistes adoptées par cette organisation terroriste", indique le ministère de l’Intérieur dans un communiqué.
Les membres de cette cellule ont contribué à grande échelle, à faire l’apologie des actes criminels revendiqués par "Daech" à l’intérieur et en dehors de la Syrie et de l’Irak, notamment ceux qui ont visé plusieurs pays durant ce mois sacré, précise la même source.
Les prévenus ont établi des contacts avec l’organisation terroriste "Daech" et exploitaient "le réseau électronique pour acquérir de hautes compétences en matière de fabrication d’explosifs et des produits chimiques et de maniement de différents types d’armes".
Le Maroc a décreté récemment l’état d’alerte maximale suite aux attentats terroristes menés ce ramadan en Tunisie, en Koweït et en France, en prévision d’éventuelles attaques contre le pays.