Maroc : pas de hausse du prix de la vignette automobile

18 octobre 2018 - 20h50 - Economie - Ecrit par : Bladi.net

Une hausse des tarifs de la vignette automobile vient d’être démentie par le ministre délégué chargé des relations avec le Parlement et la société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi.

« Ce qui a été rapporté par des médias concernant une éventuelle augmentation des tarifs de la vignette automobile ne figure pas dans le PLF-2019 adopté aujourd’hui par le Conseil de gouvernement et qui sera soumis au parlement », a déclaré le ministre, assurant que le projet de loi de finances (PLF) 2019, approuvé jeudi en Conseil de gouvernement, ne comprend aucune disposition relative à la hausse des tarifs de la taxe spéciale annuelle sur les véhicules automobiles.

Pour le ministre, une mobilisation exceptionnelle a permis la mise à disposition de 27 milliards de dirhams supplémentaires pour l’investissement public, l’éducation, la santé et l’emploi.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Automobile - Impôts - Mustapha El Khalfi

Aller plus loin

Un record pour Attijariwafa Bank

Le groupe "Attijariwafa bank" s’est illustré pour la cinquième année consécutive, avec 976 000 vignettes encaissées à fin janvier.

Maroc : combien va coûter la vignette automobile cette année ?

Du 1er au 31 janvier 2020, les automobilistes devront s’acquitter de la taxe spéciale annuelle sur les véhicules automobiles (TSAV), dite vignette. Cette année, les prix restent...

Ces articles devraient vous intéresser :

Impôts : des procédures simplifiées pour les MRE

La simplification des procédures administratives pour les Marocains résidant à l’étranger (MRE) a permis à ces derniers de se mettre à jour vis-à-vis de l’administration fiscale, a déclaré Nadia Fettah, ministre de l’Économie et des finances.

Ventes de voitures au Maroc : Les marques de luxe cartonnent, les autres s’effondrent

Malgré une conjoncture morose et une baisse globale des ventes de voitures au Maroc en février, les marques de luxe semblent tirer leur épingle du jeu.

Neo Motors, la nouvelle voiture 100% marocaine, est en vente

C’est désormais effectif. Neo Motors, le premier constructeur automobile à capital marocain, a donné le coup d’envoi de la commercialisation de ses premiers véhicules « made in Morocco ».

Amnistie fiscale au Maroc : un succès historique pour les avoirs non déclarés

Au Maroc, l’amnistie fiscale sur les avoirs non déclarés au titre de l’année 2024 permet de régulariser un montant record de 125 milliards de DH.

Voici les marques de voiture les plus vendues au Maroc

Le marché automobile marocain se reprend après quelques mois d’accalmie avec une augmentation de 22,01 % par rapport à l’année précédente, selon les données de l’Association des importateurs de véhicules au Maroc (AIVAM).

Les SUV et les voitures sportives, stars du marché automobile marocain

Le marché automobile marocain du neuf a enregistré une légère progression en 2023. C’est ce qui ressort du bilan annuel présenté par l’Association des Importateurs de Véhicules au Maroc (AIVAM) lors d’une conférence de presse.

Immobilier au Maroc : des changements pour la cession des biens

Au Maroc, l’administration fiscale a changé les modalités de cession des biens immeubles, afin d’augmenter les rentrées des taxes locales, parent pauvre des recettes du Trésor.

Maroc : l’attestation qui plombe le marché de l’immobilier

Les nouvelles mesures concernant l’attestation fiscale, en vigueur depuis le 1ᵉʳ juillet dernier au Maroc, portent un sérieux coup de frein aux transactions immobilières, dénoncent les notaires.

Une classe moyenne marocaine en plein essor, vraiment ?

Au Maroc, les ventes de voitures ont connu une forte augmentation au cours de la dernière décennie, passant de 111 000 unités en 2011 à plus de 161 000 unités en 2023 par an, soit une progression d’environ 45 %. La même tendance est notée en ce qui...

Maroc : des entreprises dans le viseur du fisc

Dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale, les contrôleurs fiscaux se concentrent sur les petites et moyennes entreprises (PME) situées dans la région de Rabat-Casablanca, en situation de déficit depuis plusieurs années.