Le projet de loi sur le code numérique fait polémique au Maroc. Le texte prévoyant des peines allant jusqu’à cinq ans de prison et 100.000 DH d’amende à l’encontre des éditeurs de sites internet, ou de moyens de communication numériques, reconnus coupables d’avoir détourné, espionné ou stocké des communications privées, sera examiné la semaine prochaine par le gouvernement.