PWC révèle qu’entre 2006 et 2009, le Maroc a appliqué un taux d’impôt moyen de 33,9%, soit le deuxième impôt le plus élevé au monde, après le Japon qui prélève 38,8%.
Le taux d’imposition exagérément élevé, dépasse de loin les standards de taux adoptés par les pays non membres de l’OCDE, dont le niveau de développement est comparable à celui du Maroc et où le taux d’impôt effectif ne dépasse pas 16,5%.
Le pays qui cherche désespérément à se constituer en plateforme régionale, risque de perdre de son attractivité au niveau de la région Mena, où la concurrence est féroce pour s’attirer les investissements étrangers.