D’après un communiqué du ministère de l’Intérieur, les deux femmes avaient déjà séjourné dans les "camps d’Al-Qaïda en territoires afghan et pakistanais".
L’implication des deux suspectes dans les projets terroristes que la cellule extrémiste démantelée mardi, comptait mener au Maroc, a été clairement établie, précise la même source.
La cellule, composée de huit membres, neutralisée entre les villes de Tanger, Taounate, Khouribga et Bouznika, comptait commettre des attentats au Maroc au nom du groupe État islamique (EI), en prenant notamment pour cible des responsables sécuritaires.