Le parquet de Valence spécialisé dans les délits de haine a requis trois ans de détention contre un homme accusé de diffusion d’informations mensongères sur les réseaux sociaux ciblant les musulmans, notamment Marocains.
Le mouvement du 20 février affirme qu’il maintient son appel à manifester pacifiquement dimanche 20 mars, pour revendiquer la dissolution du gouvernement, du parlement et la mise en place d’une monarchie constitutionnelle.
Exigeant des garanties constitutionnelles et juridiques claires, le mouvement du 20 février compte récidiver et organiser de nouvelles manifestations au Maroc, jusqu’à ce que les réformes exigées soient adoptées.
Le discours Royal du 9 mars semble ne pas avoir apaisé les âmes. Le Maroc mettra encore une fois son exception à l’épreuve. Les libertés seront respectées affirment les autorités, mais l’ombre du dimanche 13 mars à Casablanca et du mardi 15 mars à Khouribga plane désormais sur les manifestations prévues dimanche 20 mars au Maroc.
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