"Les produits qui ont été saisis dans un magasin commercial ne sont que des produits cosmétiques et des compléments alimentaires et non pas des principes actifs utilisés dans le traitement de certaines maladies", explique-t-on dans un communiqué, menaçant les "parties prétendants représenter les pharmaciens de "porter atteinte à la confidentialité de l’enquête menée par les autorités compétentes sur la saisie de produits pharmaceutiques par les services de la Sûreté".
Le ministère a fermement dénoncé "la diffusion de ces allégations et informations fallacieuses", soulignant que les organes de contrôle et d’inspection relevant du ministère de la Santé sont actifs et veillent sur la sécurité et la qualité des produits pharmaceutiques, et assure également qu’il œuvre, en coordination totale avec les services de la Sûreté et les autorités judiciaires compétentes pour débusquer et poursuivre toute personne dont l’implication est avérée dans des faits portant atteinte à la sécurité et la santé des citoyens.
Il se réserve, dit-il, le droit de prendre les mesures juridiques nécessaires et de saisir la justice pour engager des poursuites contre ceux qui publient ce genre de fausses informations et d’allégations portant atteinte, d’une manière ou d’une autre, à la sécurité sanitaire des citoyens.