Selon le journal saoudien, Okad, ces indemnités représentent "les arriérés de salaires et de rémunérations, les primes de fin de service, et les soldes des congés annuels".
La compagnie a par ailleurs été contrainte de délivrer une attestation de travail pour les quatre années de service.
L’hôtesse de l’air avait déposé une plainte auprès du Tribunal de travail, appuyant sa requête avec un contrat de travail en cours et une demande d’indemnités professionnelles.
Avisée de la date du procès par voie électronique, la compagnie a refusé à plusieurs reprises de se présenter au tribunal.
Eu égard aux "préjudices portés à l’encontre de l’employée", le jugement a été prononcé par contumace, le tribunal saoudien estimant que la plaignante a "quitté son emploi pour non versement de ses salaires, et que, conformément à la législation du travail, elle mérite une prime de fin de service".