
Drame dans la commune d’Ait Amira. Un jeune homme a donné un coup de couteau mortel à son père après que ce dernier a refusé de lui donner de l’argent pour acheter un paquet de cigarettes.
Un séisme vient de s’abattre sur la brigade de la gendarmerie royale de Talmest, dans la région d’Essaouira. On parle de non-dénonciation des auteurs d’un meurtre.
Le commandant régional de la gendarmerie royale d’Essaouira aurait, selon Assabah, reçu un enregistrement sonore où un élément de la brigade de la gendarmerie royale de Talmest dénonce les auteurs d’un meurtre quand, officiellement, l’enquête piétine. Le chef de la brigade lui-même serait impliqué.
Ce serait le meurtre d’un agriculteur, agressé par une bande à proximité de chez lui, à douar Al Mirt, relevant du caïdat de Regraga. L’homme a succombé à ses blessures après 20 jours en salle de réanimation dans une clinique privée de Marrakech où il a été emmené. Cela s’est produit en janvier 2018.
Les membres de la famille ont, en voyant la lenteur de l’enquête et le flou total qui l’entoure (alors même que des empreintes digitales ont été relevées sur les lieux du crime) commencé à suspecter que tout cela soit intentionnel. Selon Assabah, ces derniers ont même accusé le président de la commune d’y être pour quelque chose.
Et c’est là qu’arrive l’enregistrement sonore, parvenu à la gendarmerie royale d’Essaouira ainsi qu’aux membres de la famille de la victime. On y entend un gendarme de la brigade accusant "l’adjudant" et y jurant sur son honneur que les assassins de l’agriculteur sont bien connus, tout en citant leurs noms.
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