Interrogé par France 3, le maire de la commune persiste et signe. "On sait que parmi les réfugiés il y a des infiltrés djihadistes et on ne souhaite pas prendre ce risque là, c’est très simple", a-t-il expliqué, prétextant ne pas comprendre pourquoi "les musulmans sont éjectés de leur pays de cette façon là".
De plus, ajoute le maire "il ne connaît pas de chrétiens prenant le train avec une kalachnikov".
Le Maire s’est dit donc prêt à accueillir les gens "qui sont capables de s’intégrer", ce qui ne semble pas être le cas des musulmans, selon le maire.