Moulay Hassan, Emmanuel Macron et Mohammed VI
Suite à la convocation par un juge d’instruction français de plusieurs journalistes marocains en vue d’une mise en examen en France, la ministre française Nicole Belloubet a reconnu un « dysfonctionnement » et un « non-respect de la convention d’entraide pénale ».
Selon des sources citées par le site Atlasinfo, « la ministre française de la justice, Nicole Belloubet, et son homologue marocain Mohamed Aujjar, ont eu un entretien téléphonique mardi après-midi » lors duquel a été fait le constat « que les conventions entre les deux pays et les procédures n’ont été ni appliquées ni respectées ».
Dans ce type d’affaire, « le juge d’instruction devait transmettre les convocations au ministère français de la Justice, lequel les transmet à son homologue marocain. Et c’est ce dernier qui informe les convoqués via le parquet », fait remarquer le site.
Ces convocations font suite à une plainte pour « injure » déposée par l’ex-capitaine Mustapha Adib.