L’homme, qui travaillait au Maroc en tant qu’employé d’un centre d’appels, est poursuivi pour « constitution d’une bande criminelle dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l’ordre public et apologie du terrorisme », indique un communiqué publié par la MAP.
L’affaire sera rejugée le 27 novembre prochain pour permettre au prévenu de préparer sa défense et de désigner un interprète assermenté.
Sous le coup de menaces terroristes depuis l’apparition de l’organisation terroriste de l’Etat islamique, le Maroc a durci les peines d’emprisonnement et d’amendes liées au Djihad et au soutien au terrorisme.