D’après le ministre de l’Intérieur, les membres de ce groupe, dont deux chefs originaires de la ville de Fnideq, organisaient des réunions secrètes dans le domicile de l’un d’eux pour embrigader des jeunes femmes détenant la nationalité maroco-espagnole pour les envoyer en Syrie et en Irak.
Ces femmes étaient ensuite utilisées comme des kamikazes ou mariées à des combattants marocains au sein de l’organisation de l’Etat islamique (EI).
Les membres de ce réseau entretenaient également, selon la même source, des liens avec des combattants marocains au sein de l’EI et prévoyaient de commettre des attentat à l’intérieur du Royaume.