Parmi les 13 autres, six étaient de nationalité espagnole, quatre de nationalité algérienne, deux de nationalité syrienne et un de nationalité égyptienne, fait savoir l’agence Europa Press. Quatre d’entre les 37 détenus « étaient dépourvus de documentation leur habilitant la présence dans l’espace Schengen ».
Le parti d’extrême droite Vox qui a tendance à associer l’immigration irrégulière à la menace terroriste avait adressé une question au gouvernement sur une opération antiterroriste, laquelle s’était soldée par l’interpellation de trois personnes à Barcelone, le 8 janvier dernier. En réponse, l’exécutif a « succinctement » affirmé que c’étaient des Algériens, alors que Vox faisait allusion à d’autres nationalités, rapporte la même source, ajoutant que l’un des détenus était revenu de la zone de conflit syro-iraquienne à la veille de Noël.
En Espagne, les données du ministère de l’Intérieur indiquent que les forces de l’ordre ont réussi à interpeller 412 personnes dans le cadre de 230 opérations depuis 2012.