Cette étude économique, publiée par le King Abdullah Petroleum Studies and Research Center (KAPSARC), une institution à but non lucratif pour la recherche indépendante sur l’économie mondiale de l’énergie, a révélé au grand jour, que l’amélioration de la main-d’œuvre nécessite des marchés compétitifs, interactifs et motivants pour attirer les compétences locales, rapporte le site www.tsa-algerie.com. On note, selon le consultant d’Asharq Al-Awsat, que c’est une occasion pour les gouvernements de faire baisser le taux de chômage, poursuit le même média.
D’après les résultats de l’étude, il est prouvé que l’énergie solaire photovoltaïque est le secteur capable d’utiliser le plus grand nombre de travailleurs, puisqu’elle arrive en tête du taux de création d’emplois en Égypte et en Jordanie, suivie de l’énergie éolienne et de l’énergie solaire concentrée.
Pour sa part, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que les énergies renouvelables pourront générer plus de 40 millions d’emplois d’ici 2050, et que le nombre d’emplois créés par le secteur de l’énergie atteindra 100 millions d’ici 2050.
Au total, six types d’activités dans la centrale solaire photovoltaïque et le projet de parc éolien, de la planification à l’arrêt de l’exploitation, ont été identifiés par l’Agence. Il faut noter que l’exploitation, la maintenance et l’installation, la construction et la fabrication sont les secteurs d’activités qui procèdent régulièrement au recrutement, affichent les résultats de l’étude.