Deux axes majeurs de collaboration sont prévus dans ce document signé en 2020, rapporte econostrum.info. Il s’agit des “bâtiments intelligents” –avec le développement de réseaux électriques de petite taille pour alimenter les bâtiments et quartiers en énergies renouvelables avec des moyens de stockage - et les “scénarios énergétiques” ciblant les mix énergétique favorables à la transition énergétique.
Il y a un an, les deux établissements universitaires se sont associées pour “développer la coopération académique autour des trois sujets : énergies renouvelables, transition énergétique et développement durable”. Ils ont également créé une chaire internationale sur le thème “Data science et processus industriels”, avec le soutien du groupe marocain OCP et de la Fondation de l’X.
Par ailleurs, l’école d’ingénieurs parisienne a paraphé, depuis 2015 des accords de coopération au niveau Master avec l’Université Euro-Méditerranéenne de Fès et l’Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles (IRESEN).
A cela s’ajoutent 4 accords de double-diplôme lancés avec l’École Hassania des Travaux Publics (EHTP), l’École Mohammadia d’Ingénieurs (EMI), l’École Nationale Supérieure d’Électricité et Mécanique (ENSEM) et l’École Nationale Supérieure des Mines de Rabat (ENSMR). Quant au Master STEEM de l’X, il est un diplôme d’études supérieures en deux ans, entièrement enseigné en anglais, conçu pour les futurs leaders de la transition énergétique, les principaux fabricants, les start-ups innovantes et les organisations publiques.