
Au Maroc, alors que la pression fiscale est excessive, les citoyens et les entreprises ne perçoivent pas toujours les effets concrets des prélèvements d’impôts dans l’amélioration des services publics et des infrastructures.
Abdelilah Benbrahim, le directeur adjoint des impôts, a été assassiné samedi à Rabat alors qu’il sortait du domicile d’un de ses collègues.
Âgé de 53 ans, l’homme aurait été tué de plusieurs coups de couteau assénés par le fils de l’ami à qui il rendait visite.
Le mis en cause qui souffrirait de troubles psychiques, selon les premiers éléments de l’enquête, a été arrêté et présenté lundi devant la justice.
Ces articles devraient vous intéresser :