Israël et Maroc : des droits de douane en moins, des voitures électriques en plus
Israël envisage de conclure un accord de libre-échange avec le Maroc pour supprimer les droits de douane (7 %) sur les voitures électriques et les batteries.
Depuis la normalisation des relations entre Israël et le Maroc, de nombreuses entreprises du secteur de la cyberdéfense se sont installées au pays ou comptent le faire. Le magazine Jeune Afrique s’est intéressé à cet engouement.
Check Point Software (CPS), pionnier en la matière, a annoncé début août l’inauguration d’une unité à Casablanca, visant à répondre à la demande croissante en Afrique où elle génère déjà 50 millions de dollars de chiffres d’affaires.
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Lors de la Cyber Week en juin, organisée par l’Université de Tel-Aviv, d’autres acteurs du secteur, comme la start-up Profero et le géant CyberArk, ont également manifesté leur intérêt pour le royaume. Le PDG de CyberArk a notamment mis en avant le « potentiel énorme » du Maroc. Rappelons que Check Point Software, ayant un chiffre d’affaires global de 2 milliards de dollars, emploie déjà cinq personnes au Maroc et trois en Afrique subsaharienne, toutes rattachées à leur bureau marocain.
Depuis juillet 2021, le Maroc et Israël ont officialisé leur collaboration avec un accord en cyberdéfense, renforçant ainsi les relations entre les deux pays. CPS, leader reconnu pour ses solutions haut de gamme, a déjà séduit plusieurs clients marocains, dont des banques, des institutions publiques et privées, ainsi que des centres de recherche.
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