
Interpellé par un groupe parlementaire sur le droit des Marocains résidant à l’étranger (MRE) à participer aux élections au Maroc, Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur a répondu sans détour.
Une cinquantaine de députés sont poursuivis pour pratiques de corruption en période électorale, lors du dernier scrutin législatif.
Les députés soupçonnés d’actes de corruption, dont certains s’étaient présentés aux élections dans la région du Sahara, avaient été mis sous écoute téléphonique, autorisée par le parquet général, lors de la campagne électorale.
Certains députés fraudeurs ont déjà été convoqués et sont poursuivis pour avoir acheté les voix des électeurs lors de la campagne électorale, rapporte le quotidien Assabah.
Conformément à la loi organique du parlement, toute personne qui a obtenu des voix d’électeurs de façon illégale ou tenté de les acheter, est passible d’une peine allant de un à cinq ans de prison, assortie d’une amende de 50.000 à 100.000 dirhams.
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