
L’annulation par le roi Mohammed VI du rituel du sacrifice de l’Aïd Al-Adha ne fait pas que des heureux. Les « chennaqas » (intermédiaires et spéculateurs des secteurs de l’agriculture et de la pêche) se trouvent en difficulté.
L’association Al Wifak du Bahreïn a proposé au gouvernement de son pays d’engager des réformes constitutionnelles semblables à celles adoptées au Maroc, pour diriger le pays vers une monarchie constitutionnelle.
La demande a été faite par l’association chiite qui constitue le principal opposant au régime bahreïni, dans le cadre du dialogue social engagé dans ce pays depuis la révolte sociale de février dernier.
Dans sa requête, l’association Al Wifak prend exemple sur les réformes adoptées au Maroc et qui réduisent les pouvoirs du Roi en faveur d’un premier ministre aux prérogatives plus élargies, ainsi que sur l’indépendance de la justice.
L’ONG bahreïni félicite aussi le peuple et le Roi du Maroc pour le résultat du référendum et considère que cette nouvelle constitution constitue un pas important pour la consécration de l’édifice démocratique du Maroc.
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