Ces logements, qu’ils attendent pour certains depuis plus de 8 ans à Agadir, Marrakech, Kénitra ou encore Tanger, selon le Parisien, n’ont toujours pas été livrés par le promoteur immobilier malgré sa promesse d’accélérer la remise des clés.
« Ils sont censés ouvrir le samedi, manifestement ils refusent de se confronter à nous ! », explique un manifestant au journal. Rassemblés en association, ils veulent aujourd’hui non seulement prendre possession de leur bien mais aussi être indemnisés pour ce délai d’attente excessivement long.
Pendant ce temps là, le groupe « Chaabi Lil Iskan » continue de vendre les biens « livrables » à ses clients. Il suffit, selon les affichettes du promoteur de contacter l’agence du promoteur immobilier pour « finaliser les actes de cession ».