Sur les réseaux sociaux, des messages de détresse de certains employés sont relayés abondamment pour exiger la fermeture de ces centres "menacés" par la propagation du coronavirus. Ceux-ci, entassés par dizaines dans des espaces restreints, craignent le pire. Une pétition adressée au gouvernement, avec plus de 7 000 signatures, a été également initiée.
Par ailleurs, certaines entreprises telles que B2H, Anotel et Majorel, ont, par mesure de sécurité, cessé leurs activités. D’autres, confrontées à cette progression du virus, font recours au télétravail, qui a été garanti aux personnes à risque. La direction a procédé au renforcement du nombre de navettes dédiées au transport du personnel, en assurant également la désinfection régulière des locaux et des bus.