Malika El Omari n’a pas été placée dans une maison de retraite, a affirmé une source proche de l’actrice marocaine, démentant les rumeurs qui ont circulé récemment sur les réseaux sociaux à son sujet.
La campagne que mène la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) contre le travail illégal du personnel féminin a provoqué la débandade dans le rang de centaines de barmaids, femmes de ménage, serveuses et femmes de service, à Casablanca. Celles-ci ont déserté les bars, les restaurants et les night-clubs, au risque de se faire arrêter.
La peur a gagné le rang du personnel féminin des bars. Entre y rester pour se faire arrêter par les éléments des brigades spéciales d’intervention de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) et éviter toute interpellation, le choix est vite fait.
Les barmaids, femmes de ménage, serveuses et femmes de service de Casablanca ont déserté les bars, les restaurants et les night-clubs.
Les brigades de police mènent en effet une large campagne dans le centre de la ville et à Aïn Diab contre le travail illégal des barmaids et des autres femmes travaillant dans des bars ou des restaurants, rapporte H24info.
Il a été exigé au personnel féminin de disposer d’une licence spéciale avant d’exercer dans ces établissements, ce qui n’est pas le cas du personnel masculin.
« Les éléments de la police demandent des photocopies de la CIN, des extraits du casier judiciaire, des fiches anthropométriques ainsi qu’une déclaration de l’employeur et de l’employée, a fait savoir Jeddouri Jilali Kacem, Président de l’Association Atlas.
Fustigeant cette mesure, Jeddouri Jilali Kacem a évoqué les conséquences qui pourraient en découler. Pour lui, cela ne peut mener qu’à deux choses : jeter les femmes à la rue ou les pousser à la débauche.
A l’en croire, les professionnels entendent observer, dans les tout prochains jours, une grève de 48h reconductible, pour manifester contre cette mesure, laquelle empiète sur le bon déroulement de leurs activités.
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