Au Maroc, des scènes des élèves déchirant leurs cahiers et livres pour annoncer la fin de l’année scolaire, se sont reproduites.
Le ministère italien des affaires étrangères attribue des bourses d’études aux étudiants marocains au titre de l’année académique 2005-2006
Ces bourses d’études concernent les cours de langue italienne (1 à 9 mois), les cours universitaires (5 à 8 mois), les cours de diplômes universitaires (9 à 12 mois) et des cours divers de formation artistique et musicale supérieure (1 à 12 mois), indique un communiqué du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique. Elles se rapportent également à la recherche (doctorats, masters et spécialisation), aux cours de langue et culture italiens réservés aux enseignants et de diplômes avancés en études européennes (1 seule bourse de 9 mois). Les conditions requises pour l’obtention de ces bourses sont la connaissance de la langue italienne, la possession d’un diplôme requis pour l’inscription choisie et l’âge des candidats ne doit pas dépasser 35 ans (sauf pour les enseignants de langue italienne), ajoute la même source. Les titres et certificats d’études doivent être intégrés par la traduction en italien, effectuée par un traducteur officiel et légalisée auprès de l’ambassade d’Italie à Rabat ou du consulat général à Casablanca, suivant le principe de la compétence territoriale, et par le même bureau de l’ambassade ou du consulat général. Les dossiers de candidature peuvent être retirés auprès de la direction de la formation des cadres, de l’ambassade d’Italie ou des centres Irchad Attalib. Le dépôt des dossiers peut s’effectuer auprès de la direction de la formation des cadres (DFC), soit auprès de l’ambassade d’Italie et ce avant le 27 avril, précise le communiqué, notant que la priorité sera donnée aux disciplines scientifiques et techniques. Les candidats devront se présenter, le 29 avril, au siège de la DFC sis au 35, avenue Ibn Sina, Rabat, pour passer un entretien oral en cas de présélection concernant la connaissance de la langue italienne.
L’Economiste.
Ces articles devraient vous intéresser :