Ce décès a fait réagir la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) qui explique que contrairement à ce qu’affirment plusieurs médias, elle n’a jamais cherché à cacher l’état de santé du détenu durant sa grève de la faim.
Elle précise également en avoir fait part à sa famille et au parquet général et de l’avoir transporté à plusieurs reprises à l’hôpital pour des examens, rappelant qu’elle n’est pas responsable des détenus quand ils sont hospitalisés.
El Ghazi Kellada aurait été exproprié par « une puissante personnalité de la région de Beni-Mellal, rapporte pour sa part Telquel qui cite le site Lakome.