Ainsi, des acteurs associatifs, des militants et de nombreux citoyens de tous bords ont répondu à l’appel lancé sur les réseaux sociaux pour un rassemblement devant la stèle commémorative des victimes des attentats du 16 mai 2003 à Casablanca.
Pour le président de l’association Marocains Pluriels, Ahmed Ghayet, interrogé par la Map, les participants « ne sont que les porte-voix, parce que c’est toute la société marocaine qui a exprimé son refus du terrorisme et de la barbarie tout simplement ».
« Cinquante musulmans, dont des enfants, ont été tués en Nouvelle-Zélande. Ailleurs, ce sont des tombes juives qui sont profanées ou des chrétiens qui sont maltraités. En fait, le terrorisme n’a ni couleur, ni religion, ni passeport », a-t-il indiqué, ajoutant que cette action témoigne de « notre soutien au peuple néo-zélandais qui fait face à l’adversité avec beaucoup de courage et notre sympathie envers les familles des victimes ».