L’investigation menée par la police suite au démantèlement de la cellule terroriste le 18 février dernier a révélé, selon le ministère de l’Intérieur, la présence dans les produits saisis de substances toxiques et biologiques mortelles.
Ces substances sont classées par les instances internationales comme armes biologiques « dangereuses ».
Le ministère précise qu’une « quantité minime de ces produits peut causer la paralysie et la destruction du sytème nerveux et provoquer sa mort ». Explication dans ce reportage d’Al Oula.
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