
Walid Regragui ne laisse rien au hasard. Soucieux de préparer au mieux les prochaines échéances des Lions de l’Atlas, il s’est récemment penché sur un rapport médical détaillé concernant plusieurs joueurs cadres.
La fédération internationale de football (FIFA) a finalement autorisé le port du voile lors des compétitions officielles. Malgré le tollé provoqué "sur cette introduction de la religion dans ce sport universel", selon certains pays, la fédération a finalement tranché.
La décision très attendue par nombre de pays musulmans, dont l’Iran et l’Arabie Saoudite, a déjà été partiellement introduite dès 2012, pour permettre à certaines joueuses de pouvoir pratiquer ce sport.
La réaction la plus virulente est venue du côté français qui parle d’une "grave erreur". "Je déplore la décision de la FIFA qui malmène le principe d’universalité du football selon lequel toutes les joueuses et tous les joueurs sont soumis aux mêmes règles et aux mêmes conditions de jeu ", déplore le président de la Ligue de football professionnel.
L’instance française rappelle qu’au niveau français, le port de ces signes reste prohibé. L’interdiction de tous les signes religieux reste de mise dans le cadre de la participation des sélections françaises aux compétitions internationales.
La FIFA reste intransigeante concernant les signes politiques. Les joueurs ont pour interdiction totale d’afficher des messages politiques, à caractère personnel ou religieux sur la partie visible du maillot. Tout contrevenant s’exposera à de lourdes sanctions.
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