La souveraineté du Maroc sur le Sahara est irréfutable si l’on s’en tient aux documents royaux historiques, a affirmé jeudi Bahija Simou, la directrice des Archives royales, lors d’une conférence organisée par l’Association Ribat Al Fath pour le...
Le mystère de la ville marocaine engloutie dans le littoral nord de Safi, est sur le point d’être levé. L’Association marocaine pour la recherche et la conservation du patrimoine historique sous-marin vient d’annoncer une nouvelle découverte.
Des reliques archéologiques datant du IIème siècle avant Jésus-Christ, ont été retrouvées dans les fonds océaniques, sur une longueur de 30 kilomètres, entre Safi et Sidi Bouzid. Dans une déclaration à la MAP, le vice-président de l’association, Redouane Bourka a souligné que ces découvertes pourraient nous renseigner sur Tighaline, une ville qui relève encore de la légende, ainsi que sur le mode de vie de ses habitants.
La région de Safi regorge d’endroits méconnus et de sites archéologiques vierges, a-t-il poursuivi. De nouvelles prospections scientifiques sont encore nécessaires pour apporter plus de lumière sur les mystères de Tighaline, dont les origines remontent à l’âge du bronze.
L’Association compte à son actif plusieurs découvertes archéologiques. Parmi celles-ci, figurent le navire historique militaire sur le littoral de Safi, les canons de la Scala, et le naufrage du navire Nicholas à Cap Spartel.
Dans l’imaginaire des autochtones, la ville de Tighaline serait le berceau d’une sirène, dont les enfants, des êtres surnaturels, venaient psalmodier le Coran dans la grotte du Studieux. Un lieu chargé de légendes qui ressemble en tous points à la grotte d’Hercule à Tanger.
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