La ministre de l’Économie et des finances, Nadia Fettah, a annoncé l’intention du gouvernement de prendre des mesures contre l’utilisation anarchique des véhicules de l’État.
Le géant de l’automobile japonais Toyota pourrait construire une usine au Maroc pour compléter celles déjà existantes en Egypte et en Afrique du Sud. Mais le Royaume n’est pas seul, d’autres concurrents de poids sont en lice.
D’après Jeune Afrique, Toyota étudie actuellement d’autres possibilités de nouvelles usines au Nigeria, en Algérie et bien sûr au Maroc. Et c’est le Nigeria qui pourrait rafler la mise car une annonce d’implantation industrielle serait « imminente », précise le magazine. Cette implantation au Nigeria est économiquement viable puisque chaque année, le constructeur japonais y écoule 20.000 de ses modèles.
Viennent ensuite le Maroc et l’Algérie où le constructeur japonais « observe l’expérience industrielle de Renault ». Si Toyota devait départager les deux pays, son choix se porterait probablement sur le Maroc.
L’ouverture d’une usine Renault dans la région d’Oran a été freinée pendant de nombreux mois à cause d’une mésentente entre le constructeur et l’Etat algérien, d’abord sur l’emplacement de l’usine et ensuite sur l’actionnariat du futur ensemble. Au Maroc par contre, Renault s’est vu proposer d’énormes facilités, qu’elles soient économiques, fiscales et même au niveau de l’investissement de l’Etat Marocain (foncier, ligne ferroviaire…).
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