Le document, signé par les représentants des communautés d’Andalousie, Valence, Murcie et des Îles Canaries, indique que la tomate espagnole aurait essuyé de lourdes pertes en raison du dernier accord commercial conclu entre l’Union européenne et le Maroc.
Selon le quotidien espagnol El Mundo, la culture de la tomate risque de disparaître de Murcie et Valence alors qu’en Andalousie, le pouvoir d’achat des coopératives et des agriculteurs dégringole dangereusement.
Les signataires, qui appellent tout bonnement l’Union européenne à annuler l’accord conclu avec le Maroc, affirment que si ce traité commercial venait à voir le jour, il aurait un impact désastreux sur le secteur agricole en Espagne.