Suite aux récents changements connus par le monde arabe et dont certains se poursuivent encore, le ministre des Affaires extérieures, Taïeb Fassi Fihri, n’a pas hésité à affirmer que "nul ne peut dire que le printemps arabe sera suivi par un été arabe" et que cela pourrait être l’inverse.
Toujours selon ce dernier, "le printemps arabe pourrait très bien déboucher sur un hiver noir tyrannique, dictatorial, un hiver où les peuples seraient beaucoup plus oppressés qu’avant".
Bien entendu, le ministre en a profité pour vanter les mesures constitutionnelles libérales que connaît le royaume, apportant comme preuve le fait que la Constitution marocaine a connu quatre réformes depuis 1969 et que les réformes imminentes annoncées par le Roi lors de son discours le 9 mars, seraient très importantes et de grande envergure.
Le ministre en a aussi profité pour rappeler les grands points qui concerneront les réformes constitutionnelles.