Une plainte pour « dégradations » a été déposée par l’association cultuelle gérant la mosquée et à la demande du ministère de l’Intérieur, le préfet du département, Philippe Vignes, s’est rendu sur place pour « témoigner de la solidarité du gouvernement à l’ensemble de nos concitoyens de confession musulmane ».
« Tous les moyens seront mis en oeuvre pour retrouver les auteurs de ces actes odieux et inacceptables », a déclaré le ministre de l’Intérieur, ajoutant que le « racisme et tous ceux qui entendent diviser la communauté nationale n’ont pas leur place au sein de la République, qui respecte toutes les croyances ».
En janvier dernier, une tête de sanglier avait été déposée à proximité de la même mosquée.