Tous les murs de ce lieu de culte, situé non loin de la mairie de la ville, ont été recouverts de ces inscriptions, a indiqué un responsable préfectoral, David Clavière, qui s’est rendu sur place avec le maire de Carcassonne Gérard Larrat.
Une enquête a été ouverte pour déterminer "si une ou plusieurs personnes sont les auteurs des faits", a relevé ce responsable, ajoutant que "S’il n’y a qu’un seul auteur, il a disposé d’un temps assez long".
"Aucune piste n’est cependant privilégiée", a précisé M. Clavière, qui a condamné l’acte, comme le maire de Carcassonne.
"Lorsqu’une communauté est touchée, c’est l’ensemble des communautés qui l’est également", a souligné le maire. Le président de l’association qui gère cette mosquée compte porter plainte.
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