L’enseignement de l’anglais sera généralisé dans les collèges au Maroc dès la rentrée scolaire 2023-2024, a annoncé dans une note Chakib Benmoussa, le ministre de l’Éducation nationale, du préscolaire et des sports.
La direction de l’école primaire Emile Bockstael de Laeken à Bruxelles a adressé un avis aux parents concernant la pratique du Ramadan par leurs enfants. Les parents doivent savoir que l’établissement n‘entend pas intervenir en cas de malaise des enfants jeûneurs.
Selon la radiotélévision belge, l’école primaire Emile Bockstael de Laeken décline toute responsabilité en cas de malaise d’enfants dû au jeune en période de Ramadan. Cette école a en effet adressé un avis aux parents leur demandant de prendre acte de sa décision.
Selon le média belge, deux phrases dans cet avis résument tout. « Afin d’éviter tout problème, nous vous demandons de compléter l’autorisation suivante si vous acceptez que votre enfant jeûne au sein de l’école. Dans ce cas, l’école décline toute responsabilité au cas où un enfant autorisé se sentirait mal. » Comprenez : l’école n’interviendra pas si un enfant de confession musulmane qui décide d’observer le jeûne effectuerait un malaise.
Cependant, fait observer le média belge, il n’est pas rare de constater que des pré-ados décident de jeûner, symboliquement ou par compétition, le week-end voire à l’école. Ce qui n’est sans susciter l’inquiétude auprès des enseignants et de la classe politique. Et d’ajouter que « par le passé, l’Exécutif des musulmans avait même dispensé écoliers et étudiants lorsque le Ramadan tombait en période d’examens ».
La réaction de la ville de Bruxelles dont dépend cette école ne s’est pas fait attendre. Elle a en effet clairement désapprouvé cette décision de l’école. Charles Huygens, directeur général du département Instruction publique, affiche lui aussi, un avis contraire. Mieux, il parle d’un « cas isolé ». « Nous allons revenir vers la direction de cette école pour expliquer qu’il faut aborder la question avec responsabilité, bienveillance et pédagogie", dit-il. Pour finir, il affirme qu’ « aucun enfant pouvant être victime d’un malaise ne sera ignoré », tout en invitant à « faire de cette période une opportunité pédagogique en associant impérativement les enseignants de religion islamique ».
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