Alors que la femme a écopé d’une peine de 3 mois de prison et d’une amende de 300 dirhams, la Cour a aggravé la peine de son amant, en le condamnant à 4 mois fermes, pour adultère et usurpation d’identité.
L’enquête préliminaire, diligentée par la gendarmerie royale, a révélé des faits nouveaux. L’amant mis en cause, vivait en concubinage avec une autre femme, sans acte de mariage. Selon le Code pénal marocain, toute relation intime, en dehors du cadre légal du mariage, est passible d’une peine d’1 à 12 mois de prison.
La femme mariée, âgée d’une cinquantaine d’années, avait été surprise par son mari, dans les bras de son amant, au domicile conjugal, dans un douar à proximité de Tiznit.