Cette aide permettra aux parlementaires de se loger plus facilement dans les hôtels de la capitale et ne leur sera pas versée directement car les frais seront pris en charge par la Deuxième chambre du parlement, rapporte le journal Al Akhbar. Par contre, gare à ceux qui tentent de tricher puisqu’une « brigade » de cinq fonctionnaires contrôlera les bénéficiaires de cette prime.
Mais les parlementaires en veulent plus. A l’instar de leurs collègues de la première chambre, ces derniers ont exigé du président trois nuitées par semaine dans la capitale, la prise en charge du carburant de leur véhicule et la mise à disposition d’un smartphone ainsi que le paiement des factures téléphoniques.
D’un autre côté, les aides au transport pourraient être supprimées pour certains parlementaires. Chaque année, la Deuxième chambre octroie une aide de 8000 dirhams pour les frais de transport afin de les inciter à participer aux séances, mais beaucoup n’y ont jamais mis les pieds. Pire, certains l’utilisent même pour d’autres déplacements.