La relaxation des deux accusés a été prise pour absence de preuves alors que sept autres membres ont été placés en détention préventive, les deux autres seront mis sous contrôle judicaire.
Les mis en cause, dont un Marocain résidant en Belgique, devraient répondre notamment des accusations de préparation d’actes terroristes sur les territoires marocain et belge.
Selon le parquet marocain, le réseau serait lié aux autres structures d’acheminement de volontaires pour la guerre sainte en Irak et aux camps du groupe islamiste algérien Al Qaida au Pays du Maghreb islamique.