Selon la loi de finances 2024, les fournisseurs de services non-résidents au Maroc ont désormais l’obligation de s’enregistrer sur la plateforme dédiée et d’obtenir un identifiant fiscal.
Répondant à la question des parlementaires sur l’état des libertés individuelles au Maroc, Mustapha Ramid, ministre d’Etat chargé des Droits de l’Homme et des relations avec le Parlement, a déclaré, le 8 novembre 2019, que « la France est l’autre face des talibans ». La polémique enfle.
« La France est l’autre face des talibans. […] Les deux veulent imposer le port de certains vêtements aux femmes, ce qui constitue une violation des libertés ».
Ainsi s’exprimait Mustapha Ramid, ministre d’Etat chargé des Droits de l’Homme et des relations avec le Parlement à la chambre des représentants lors de l’examen du budget du Conseil national des Droits de l’Homme (CNDH), consigné dans le Projet de Loi de finances (PLF) 2020.
Pour lui, « l’expression de la liberté individuelle est soumise au système de valeurs dominant ».
Ces déclarations du ministre d’Etat ont tôt fait d’affoler la toile. Du côté français, aucune autorité officielle n’a encore réagi.
Ces articles devraient vous intéresser :