Sa manière de procéder est inchangée. Il s’approche de sa victime et lui assène un coup de couteau dans les fesses, puis s’enfuit sur son vélo.
Ses victimes, une dizaine déjà, sont toutes des jeunes filles, s’habillant pour la plupart à l’européenne. Aucune n’a été capable de le décrire.
A Tiznit, où la psychose s’empare des habitants, on pense à un homme mentalement instable aux idées rétrogrades, rapporte l’Économiste.
La police, elle, s’applique à découvrir l’identité de l’homme à bicyclette, notamment en passant au peigne fin toutes les caméras de surveillance des établissements administratifs et bancaires proches des lieux où se sont déroulés les agressions.