Dans une décision rendue jeudi soir, le Conseil d’Etat ordonne son ouverture au motif qu’il n’existe pas suffisamment de lieux de culte pour les musulmans de la ville.
« C’est un sacré revers politique pour Christian Estrosi. Il s’est engagé jusqu’au bout. Il a perdu », a déclaré Patrick Allemand (PS), membre de l’opposition municipale, à l’Express.
Du côté des responsables de la mosquée, aucun triomphalisme, juste « une reconnaissance du droit, d’un droit : celui pour les fidèles de pouvoir prier dans un lieu digne », explique l’avocat de l’association « Nice La Plaine », Ouassini Mebarek.