Suite aux déclarations du Département d’État américain au sujet de la condamnation de Souleimane Raissouni à une peine de cinq ans de prison ferme pour une affaire de droit commun, tandis que le procès d’Omar Radi est en cours de jugement, la Délégation Interministérielle aux Droits de l’Homme et Mohamed Salah Tamek, Délégué Général de la Délégation Générale à l’Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion, ont réagi vivement.