Les Marocains résidant à l’étranger (MRE) et les investisseurs étrangers détiennent à, eux seuls, plus du quart de la capitalisation boursière de la Bourse des valeurs de Casablanca (BVC).
C’est l’histoire d’un Marocain résidant au Canada depuis de nombreuses années. Ayant postulé à maintes reprises à des emplois avec son nom « arabe » sans avoir eu d’entretiens d’embauche, il a décidé de changer pour un nom « plus canadien ». Mal lui en a pris.
Mohamed Benjelloun est arrivé au Quebec en 2001 et après avoir obtenu un doctorat, il a décidé de postuler pour des emplois qu’il n’a pas pus obtenir, la faute selon lui, à son nom arabe. Il décide alors d’entamer des démarches pour changer de nom et devient finalement en octobre 2014 Martin Savard et commence à postuler pour des emplois répondant à ses compétences, rapporte le site Radio Canada.
Les employeurs sont méfiants car tous les diplômes sont encore au nom de Mohamed Benjelloun et ne donnent donc pas suite à ses sollicitations. Du côté marocain, l’homme n’est plus reconnu. Il ne peut ni avoir son passeport marocain ni même voter au Maroc s’il le souhaite.
Face à cette pression devenue insoutenable pour lui, notamment de la part de sa femme et de sa famille, Martin fait machine arrière et décide de reprendre son identité et donc redevenir Mohamed. Après avoir refusé d’instruire sa demande, le directeur de l’état civil lui rend finalement son ancienne identité. Par contre, on ne sait toujours pas si Mohamed-Martin Benjelloun-Savard a (re)trouvé un emploi ...
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