
Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Deux jeunes marocains arrêtés en flagrant délit d’homosexualité par une patrouille de police, dans un lieu public à Fès, ont été déferrés mardi devant le tribunal de première instance de la ville.
Placés en détention à la prison d’Aïn Kadouss, à Fès, dans l’attente de leur jugement, les deux hommes, la trentaine, auraient reconnu les faits qui leur étaient reprochés.
En mai dernier, deux hommes ont été condamnés à quatre mois de prison ferme, pour avoir été surpris par la police en flagrant délit d’homosexualité dans une voiture à Temara, près de Rabat.
Au Maroc, tout acte homosexuel et contre nature entre deux personnes de même sexe, est passible de six mois à trois ans de prison ferme, conformément à l’article 489 du code pénal.
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