
Un durcissement du traitement administratif des étrangers, même en règle, se dessine à Nantes. Une note interne de la police dévoile une procédure inédite qui fait grincer des dents.
Un Marocain accusé d’avoir voulu attaquer l’Université d’Harvard et des bâtiments fédéraux à l’aides d’un drone, a été condamné à deux ans de prison par un juge du Connecticut, aux États-Unis.
Le juge n’a pas suivi les recommandations du procureur qui avait réclamé la peine maximale dans ce type d’affaires, soit 5 ans contre le citoyen marocain El Mahdi Semlali Fathi.
Le jeune homme de 27 ans avait été arrêté en avril dernier par des agents du FBI, qui l’accusent de s’être vanté de ses entraînements en Afghanistan pour perpétrer des attaques terroristes.
Lors de son procès, Fathi avait plaidé coupable de parjures pour obtenir l’asile aux États-Unis, en prétendant qu’il serait persécuté s’il retournait dans son pays d’origine, le Maroc.
Après avoir purgé le restant de sa peine (15 mois), le Marocain sera expulsé vers le Maroc.
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