Selon le journal Le matin, il s’agit de puits « à faible risque » dont les chances de livrer du gaz en quantités satisfaisantes sont élevées. Proches des infrastructures existantes, ils peuvent être rapidement raccordés au réseau de la compagnie et sont considérés, de ce fait, comme des intérêts à faible coût.
En ce qui concerne la 2e phase, elle prend en compte deux puits situés plus au nord du permis de Gharb Center et éloignés des infrastructures de la compagnie et qui ressemblent à ceux où des découvertes de gaz ont été faites sur les permis de Sebou et de Gharb Center.
Vu le risque qu’ils pourraient occasionner, le responsable posent des conditions : « S’ils donnent de bons résultats, ces puits permettront la création de nouvelles superficies de forage riches en ressources ».
Quant à la troisième phase, composée de trois puits, considérée « à haut risque », elle se déroulera dans la concession de Lalla Mimouna Nord et ciblera des profondeurs plus importantes que d’habitude.
Plus prudent, le Directeur par intérim émet des hypothèses : « Si le premier puits ne répond pas à nos attentes, nous pourrons déplacer la plateforme de forage vers notre zone de production principale et mettre fin à cette campagne en forant deux puits supplémentaires, à risque plus faible mais plus petits, dans la perspective d’ajouter des réserves supplémentaires », suggère-t-il.