L’affaire Rachid M’Barki du nom de l’ex-présentateur franco-marocain du journal de la nuit de BFMTV, mis en examen pour « corruption passive » et « abus de confiance » n’a pas fini de livrer tous ses secrets.
Un plan anti-corruption devrait être adopté par le Maroc le 14 octobre prochain au conseil du gouvernement. Ce plan, élaboré par le ministère de la modernisation du secteur public, comporte 36 actions anti-corruption.
Ce plan, monté avec l’aide de Transparency Maroc, s’appuiera sur plusieurs projets déjà en cours dont l’e-gouvernement, le plan Maroc Numeric 2013 et le centre d’évaluation des politiques publiques.
Ce nouveau programme comprend entre autres l’installation de bornes électroniques de tickets pour gérer les fils d’attentes dans les administrations, la suppression des portiers, l’installation d’un système de pointage et la généralisation des concours d’accès à la fonction publique.
Une enquête réalisée en l’an 2000 par Transparency Maroc démontrait que 98% des Marocains avaient déjà eu affaire à la corruption. Autant dire qu’après dix ans, la situation n’a que peu évolué.
Ces articles devraient vous intéresser :